Printemps
Toi qui t’avances sur le chemin
invisible
quelques fleurs à la main
que nul ne voit
à part toi
quel est ton nom
regardant dans l’eau de la fontaine les pétales des abricotiers
je parviens à épeler lentement un nom
dans une langue étrangère
P-r-i-m-a-v-e-r-a