Ciel d’avril
Nous attendons l’hiver, au mieux l’automne.
Nous n’attendons peut-être rien du tout.
Dans la tendresse des feuilles, celle de nos amis et du petit peuple.
Le ciel d’Italie est couvert, celui d’ici aussi.
Nous ignorons si ces nuages apporteront le sourire ou quelque chose de chagrin.
Dans notre bagage, l’espoir, comme le brin de paille de Verlaine, luit.
Nous attendons avec patience le retour de nos amis.
Tu ne connais pas le juste milieu. Photos débordantes, envahissantes, submergeantes ou, soudain, microscopique, comme s’il fallait compenser quelques abus précédents sur ce blog.