$wpsc_version = 169; » Oisive jeunesse… détective sauvage

détective sauvage

” Qui chante là quand tout se tait?”

Oisive jeunesse…

Rimbaud, le patron.

Suite d’une conversation avec Marc Petit.

Eloge de ce qui manque, le mot qui manque autour duquel se construit le poème.

“Si j’ai du goût, ce n’est guères

Que pour la terre et les pierres.

Dinn!Dinn! dinn! dinn! je pais l’air

Le roc, les Terres, le fer.”

in Fêtes de la faim.

ou ” fêtes de nuit sur la mer pure!”

Nous avons parlé des monostiches et je me suis souvenue de ce vers de Du Bellay, le tant aimé:”Et les muses, de moi, comme étranges, s’enfuient.”

Tout le poème a été écrit pour ce vers, si beau, si mystérieux aussi. Comm dit M.P, il faudrait arriver à écrire ce seul vers…Resserrer la poésie, sans la corseter, lui donner libre aventure vers le lecteur…

Pour Caroline, ce vers, encore de Rimbaud ( Bruxelles)

“- Calmes maisons, anciennes passions!”

2 Comments so far

  1. Caroline June 27th, 2007 7:56 pm

    Merci Sylivie !

  2. karlito July 17th, 2007 2:53 am

    ti bacio lontana sylvina.

Leave a reply

  boinkme